Catégorie : Expositions

Toile d’âmes

Un grand coup de chapeau au père Jullien de Pomerol, curé de Brignais qui fit aménager la salle Saint Clair en lieu d’exposition. Magnifique écrin pour recevoir l’expression artistique des uns et des autres. L’affaire fut inaugurée en mars 2011 par le lancement de quatre   expositions successives sur le thème de l’âme. Les participant furent dans l’ordre chronologique: Patrick Marquès, Fanny Bailly, Marie-Jo Rouvière et Béatrice Mollichon. Le titre fut vite trouvé: « Toile d’âmes »

Exposition « Toile d’âmes » Patrick Marquès:

 

De l’oeil au trait:

 

 

 

Sur la demande de la ville de Brignais, Patrick Marquès proposait en avril dernier des ateliers d’expression graphique ouverts à tous, dont une séance spécifique destinée aux enfants.

 

« … Ce fut pour moi des occasions de partages très riches avec des gens d’aspirations diverses. Chacun de nous porte en lui des énergies créatives et des capacités de contemplation. Dessiner est moins l’habileté des mains, que l’envie de faire et  l’entrainement à regarder… »

Patrick marquès: invité d’honneur du salon des peintres de Vourles


Quel plaisir que d’accueillir à nouveau Patrick Marquès à Maison Forte et cette fois-ci en qualité d’invité d’honneur pour profiter davantage des tableaux qu’il aura choisi de présenter au public du Salon Art et Lumière.
Ses œuvres, qu’il brosse à larges traits comme avec une précautionneuse minutie, en jouant des clairs-obscurs de son atelier et au son de symphonies magistrales, nous transmettent la sensibilité et l’humanisme de cet artiste talentueux.
Sous son pinceau, les couleurs, les corps et les visages acquièrent la puissance de la douleur, de l’espérance, de la sensualité. La beauté est au service de l’âme pour transmettre l’émotion.( extrait du Toute l’œuvre de Patrick Marquès rayonne de sa recherche de l’absolu, qu’il sait faire partager par la force de son talent.

site: http://www.salonvourles.com/)

 

Patrick Marquès: invité d’honneur du salon des peintres de Chaponost 2010

Patrick Marquès nous fait l’immense honneur de bien vouloir être notre invité…

Beaucoup connaissent ses peintures.
Il nous dévoilera alors des créations qu’il laisse habituellement au fond des tiroirs de son atelier et qui pourtant constitue une part immense de son travail : le dessin.
Amoureux de graphisme, adorateurs du trait, ce sera là pour vous l’occasion de vous laisser aller à la sensualité des courbes laissées par une mine de graphite.
Cette mine n’arriverait à rien si elle n’était pas soumise à une main précise dirigée par un regard bienveillant porté sur les formes féminines que Patrick ne cesse de coucher sur du papier…

 » Femme, dans la matité profonde du tableau noir des quatrièmes, je dessinais furtivement ton corps à la craie blanche avant de m’enfuir dans la cours de récréation… Je t’ai sculptée à l’opinel en des branches de cerisier… Depuis ma tendre enfance, ton corps me hante car il annonce la frontière de ton inaccessible… Je t’ai, depuis très longtemps, dessinée, bien avant de te peindre.

Tu portes en toi, le mystère de mes impalpables désirs, et tu me refuses, à ton insu, de m’en révéler la nature… Ainsi, mon dessin cherchera jusqu’au bout de mes quêtes, à te dire ce que je n’entends pas moi-même. Je m’approprie ta forme, au point que ma feuille en est virtuellement imprégnée… Alors il me reste à y déposer le trait… Un trait  chargé de cette densité charnelle et ce rayonnement spirituel, en lesquels fusionnent toutes les tensions de l’humain. Seul lieu où tous les érotismes sans frontière aucune,  semblent être aussi l’affaire de nos âmes…  

Plus que dans la peinture, le trait dit tout, dans la magie de l’instant, comme une simple éclosion sur les eaux calmes d’une profonde méditation. Le travail  ne s’y affiche nullement car il n’y a rien de laborieux dans le trait. Il est, plus que toute autre expression, l’instant de grâce de la création.

Je montre très peu mes dessins, car on vient voir ma peinture… Je les garde plus au secret, sans trop savoir pourquoi, alors qu’ils sont, pour moi, au plus essentiel de mon inspiration. S’agit-il trop de l’intime ?

Un grand merci à mon amie Fanny, présidente de l’association,  pour sa confiance et son regard sur mes dessins, ainsi que pour avoir su me décider à les montrer… » (P.M.)

De très riches instants de partages avec les enfants des écoles de Chaponost:

Exposition Barbizon

 

L’angélus de Millet a 150 ans : 150 artistes se sont joints aux plus grands, tels que Klasen, Ben, Combas, Raynaud, Boisrond,  Sosno, Kriki, Erro, Monory, Lebel, Kounellis, Blot, Fromanger, Spoeri… et bien d’autres, pour fêter son anniversaire.

Exposition collective, à l’initiative de la ville de Barbizon, sous le patronage de M Thorbjom Jagland, secrétaire général du conseil de l’Europe avec le parrainage de M.Frédéric Mitterand, ministre de la culture et de la communication.

Alors que ce tableau mythique, honore de sa présence l’exposition universelle de Shanghai, la ville de Barbizon, expose les travaux d’artistes qui expriment, chacun à leur manière, un clin d’œil personnel à l’œuvre.

Oeuvre présentée par patrick Marques « Promesse »  260cm x 162cm huile sur toile  :

L’angélus sonne…Le clocher promet-il l’instant suprême du rassemblement de toutes les prières du monde ? L’union de deux éléments de diptyque, propres à chacun des personnages, symbolise cette prière universelle espérée. Aura-t-elle, un jour, la force de transfigurer l’espace en un unique visage. Visage infini… Celui de tous les Dieux qui rassemblent et qui parlent d’amour…Le Maître Millet aurait-il voulu vraiment peindre, à l’origine, l’enterrement d’un enfant ? Le tableau en porte la croix au point de convergence des prières du couple. Chacun prie au cœur de sa solitude et de sa souffrance. Alors, survient, du côté de la femme cette lumière bleutée venue d’en haut, qui éclaire un mystère de naissance. Visage  porteur des espoirs de chacun…Visage d’un monde à renaitre dans l’unité et dans la paix…Visage promesse…

Tout un programme culturel est associé à l’événement pendant les trois mois d’expo ( cliquez sur l’image ci-après):